Le vinaigre de cidre de pomme contient de la pectine et beaucoup de vitamines, de minéraux ( riche en phosphore, sodium, calcium, fer et oligo-éléments), d'antioxydants et d'enzymes lorsqu'il est Bio, non filtré et non pasteurisé. Vous devez sélectionné votre vinaigre de cidre de pomme avec les points mentionnés et elle doit aussi contenir la «mère» qui est composée de levure et de bonne bactérie qui agissent comme probiotique. Les bienfaits :
Il peut être utilisée tant que pour nous que pour les chevaux et les chiens. Pour nous: Il n’existe aucune directive officielle sur la quantité à prendre. Certains experts recommandent de prendre 1 à 3 cuillères à thé/ jour avec de l’eau. Pour les chevaux: Il n'y pas de directive officielle non plus chez les chevaux. Les experts recommande de donner 25 ml à 100 ml par jour à la moulé. À introduire graduellement. Pour le chiens : Il n’existe aucune directive officielle sur la quantité à donner. Les experts recommandes :
Quelques recettes maison pour les chevaux:
Quelques recettes maison pour nous:
Effets secondaires possibles
Vous avez des astuces avec le vinaigre de cidre de pomme? Partagez-les nous en commentaires! * À noter qu'aucun test scientifique n'a été fait. Les données résultent d'expérience humaine. Sources : - Courrier Hippique volume 22, no 2, p.8. - www.vinaigreancestarl.com - Croix bleu du Québec -www.daniklegault.com
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Malgré la science de l’étude du comportement qui évolue, les techniques d’entraînement tardent à suivre et encore plus dans l’éducation des chevaux On se souvient tous de gens qui nous donne des conseils plus ou moins douteux, mais dans un état de découragement, on les mets en applications sans trop se poser de questions, pour finalement se rendre compte que tout ce que cela à fait est d’augmenter le stress de notre cheval et donc le comportement avec lequel nous avons des difficultés. Les personnes débutantes ont surtout tendance à se fier sur tout le monde qui les entoure, mais est-ce vraiment une bonne idée? La réponse est non. Dans l’éducation de n’importe qu’elle espèce, la constance est la clef pour l’apprentissage de l’animal. Si on change sans arrêt notre façon d’éduquer notre cheval, comment peut-il comprendre votre demande? Le cheval, comme les autres espèces, ne connaît pas l’exigence de l’homme. Il connaît son langage point. C’est à nous d’éduquer notre cheval selon notre objectif final. Mais le cheval ne doit pas gagner! Mais gagner quoi? Gagner est une notion humaine, vous voulez gagner, car vous voulez que votre cheval vous écoute. Saviez-vous que si votre cheval dépasse sa ligne rouge de stress, il ne peut plus apprendre? Il subit ce que vous faites. C’est pour cette raison, que c’est à recommencer régulièrement si vous ne le montez pas tous les jours. Un cheval qui a bien compris l’exercice le connaît à vie. Donc même si vous passez 6 mois sans le monter, le jour où vous allez recommencer à monter il va tout vous donner comme il y a 6 mois. Est-ce qu’il faut gagner avec un cheval? Non. Il faut prendre le temps de l’éduquer étape par étape. S’assurer qu’il comprend chaque demande et du même coup s’assurer que vous êtes claire dans chacune de vos demandes. Il faut lui montrer à gérer ses émotions en travaillant en désensibilisation, en habituation, etc. C’est votre devoir de propriétaire de vous informer sur les principes d’entraînements pour mieux communiquer avec votre cheval. C’est votre devoir de connaître son langage pour mieux le comprendre. Si le cheval n’est pas capable de faire l’exercice demandé, posez-vous ces questions :
Assurez-vous que votre cheval est les outils émotionnels, musculaires, à la souplesse, l’équilibre et la connaissance des manœuvres de bases. Revenez sur vos bases, une fondation qui n’est pas solide va s’effondrer si on augmente le poids dessus! La prochaine fois que quelqu’un vous donnera des conseils, posez-lui des questions :
Si cette personne ne peut pas vous répondre ou vous dit : « Parce que c’est comme ça » : Ne suivez pas ses conseils et faites appel à un professionnel. Il y a une raison pour chaque exercice que ce soit mental, émotionnelle et/ou physique. Riche en fibre, en antioxydants et fournit une bonne source de protéines, d’Oméga 3, d’hydrate de carbone, d’acide animé et de minéraux. Elle est à la fois riche en graisses (environ 30 % de graisse), et riche en protéines (environ 25 %) Les bienfaits
Selon une étude du Équine Research Centre, la graine de lin aiderait la cicatrisation de la peau pour les chevaux souffrant d’une maladie de la peau. Comment la donner Elle se conserve à l’abri de l’humidité et de la chaleur. Il serait préférable de la faire cuire, mais nous pouvons la donnée légèrement broyée pour cassé la coquille solide empêche la digestion et l’assimilation. Il faut la donner au maximum 12 heures après être broyé, parce que les acides gras insaturés se dénaturent et deviennent rances au contact de l'oxygène. Ces acides gras dénaturés volent la vitamine E dans l'organisme du cheval. Il faut l’introduire graduellement à l’alimentation, car elle a des propriétés laxatives. Quantité Pour un cheval de 500kg Quantité: Vous pouvez donner entre 1/4 de tasse à 1 tasse par jour. Il est également important de respecter le ratio Oméga 6 : Oméga 3 qui est de 3 à 5 :1. Si votre cheval à des problèmes digestif, consultez un vétérinaire avant d’en donner pour la première fois. - Informations dans le Courrier Hippique, volume 19. No. 4 et LAROCQUE, Marie-Andrée (La graine de tournesol et la graine de lin : mythe ou réalité). Courrier Hyppique, Vol 28, No 4, p.13-14.
- édition happyquus 9/2018 « Santé & Bien-être selon les règles de la Nature » (11-2013 et 9/2018) Le sélénium est un oligo-élément, tout comme l’iode, le manganèse, le fer, le cobalt, le zinc et le cuivre. Ils sont nécessaires en très petite quantité dans l’alimentation du cheval. Les autres minéraux majeurs doivent être en plus grande quantité dans l’alimentation pour la bonne santé du cheval, soit le calcium, le phosphore, le magnésium, le sodium, le potassium, le souffre et le chlore. Avantage du Sélénium Le sélénium joue principalement un rôle d’antioxydant et il agit en synergie avec la vitamine E pour protéger les membranes cellulaires de l’action dommageable des radicaux libres. Il est particulièrement important pour la croissance et l'augmentation de la performance. Il agit également sur :
Par contre, pour être efficace, il faut que les deux, le sélénium et la vitamine E, soient en apport suffisant dans l’alimentation du cheval. Quantité nécessaire La quantité de sélénium dans les fourrages, les plantes et les grains est directement liée à sa concentration dans le sol. Au Québec, les sols en sont pratiquement dépourvus. Ce qui implique que les fourrages donnés aux chevaux sont extrêmement pauvres. Il est donc primordial de supplémenter la ration de cheval en sélénium afin d’éviter les carences. Les besoins réels en sélénium sont inconnus, mais le Conseil National de Recherche (CNR) recommande environ 1 mg/jour pour un cheval de 500kg pour la prévention d’une déficience classique. [1] Par contre, ils suggèrent qu’un apport de 3 mg/jour permettrait d’optimiser la fonction immunitaire. [2] Le sélénium de source organique est mieux assimilé en plus d'avoir moins de risque de toxicité si les dosages sont plus élevés. Les carences Un léger manque de sélénium chez le cheval adulte entraîne un affaiblissement du système immunitaire. Les cas plus sévères sont caractérisés par :
Toxicité Si le sélénium est ingéré en trop grande quantité il peut devenir toxique. La ligne entre la carence et la toxicité est mince. La quantité recommandée est de 1 à 3 mg/jour pour un cheval pesant 500kg. Le niveau considéré comme toxique peut varier selon les recherches, mais il se situe habituellement aux environs de 5mg/jour pour un cheval de 500kg pour une forme inorganique. Un excès important peut entraîner:
Un cheval qui ingérerait une quantité de sélénium légèrement trop élevée pendant une longue période pourrait souffrir d’une toxicité chronique. Les symptômes observés seraient :
En résumé, le cheval adulte a besoin entre 2 à 3 mg de sélénium par jour pour éviter les carences et la toxicité. Idéalement de source organique. Il est recommandé de faire examiner le régime alimentaire de votre cheval pour un nutritionniste équin professionnel pour s’assurer que votre cheval ne souffre pas de carence. Sources 1. Getty, Juliet M. Selenium Overload – Look at Your Horse’s Hooves and Hair! Getty Equine Nutrition 2. Beaudet, Angie. Could Selenium Deficiency be Affecting Your Horse? Horse Sport. August 5, 2019 3. Blocksdorf, Katherine. Selenium and Horses. The Spruce Pets. November 13, 2019 4. House, Amanda. Selenium in the Equine Diet. American Association of Equine Practitioners. 2016. LAROCQUE, Marie-Andrée. «L’importance du sélénium dans l’alimentation de la jument et de son poulain», Courrier Hippique. Vol 27, No 6 (janvier 2010), p. 50-52. Tout d’abord, il faut déterminer dans quelle direction votre cheval tire sur les rênes :
Pour savoir lequel il s’agit, lorsque votre cheval tire lâcher les rênes et regarder où se dirige la tête. Tire vers le bas : Le cheval est déséquilibré vers l’avant, son poids est principalement sur l’avant-main. Il faut donc améliorer son équilibre. Un des exercices de base sont les transitions descendantes pas-arrêt, trot-pas. L’objectif dans cet exercice est de sentir que chaque transition descendante apporte un meilleur équilibre au cheval, que l’arrière s’abaisse et l’avant remonte. Il existe bien sûr de nombreux exercices pour améliorer l’équilibre de votre cheval. Vous aurez bientôt un article sur le sujet. Pour la transition descendante, nous ne voulons pas mettre plus de tension sur les rênes, mais de travailler avec le poids du corps. Prenons exemple d’une transition pas-arrêt : Vous passez d’une étape à l’autre lorsque le cheval ne répond pas à vos aides en lui laissant de 1 à 2 secondes maximum de réflexion
Répéter autant de fois de nécessaire et utiliser toujours cette technique pour faire vos transitions descendantes avec votre cheval. La répétition de l’exercice va sensibiliser votre cheval à répondre à votre corps. C’est le buste (le corps) du cavalier qui doit gérer l’équilibre du cheval, ce n’est pas le travail des mains. Les mains doivent simplement indiquer à votre cheval l’attitude qu’il doit prendre, la hauteur et la direction de son encolure et quel type de mise en main que vous lui demandez Une fois l’équilibre améliorer, cela ne veut pas dire qu’il ne va pas résister à vos demandes tout bonnement. La majorité du temps, votre cheval va se retrouver en résistance et va ensuite tirer vers l’avant. Tire vers en avant : Le cheval est en résistance contre la main du cavalier, contre l’attitude et/ou contre la rondeur demandée. L’origine est un problème de décontraction et un cheval qui n’a pas appris à céder à la pression. Il faut donc apprendre au cheval à céder à différentes pressions. Commencer au sol à enseigner au cheval à céder à la pression du licou avec le reculons. Est-ce qu’il pousse contre la pression ou suit cette pression lors de l’exercice ? Nous voulons obtenir un reculons avec une très légère pression (3 grammes). Cette apprentissage de la légèreté doit également être travaillé, toujours au sol, sur les différentes partit du corps de votre cheval :
Exercice à cheval :
N’oubliez pas que lorsque nous demandons une flexion, nous ne tirons pas la tête vers nous. Nous demandons au cheval de s’arrondir en fermant les doigts sur les rênes. Si vous tirez, votre cheval tournera en rond.
Nous exécutons l’exercice dans un pas lent pour garder le cheval en équilibre et ne pas se retrouver avec un cheval qui tire vers le bas car il est en perte d’équilibre. Tire vers le haut : Le cheval a problème de dos creux. D'abord vérifier si la selle est bien adaptée et ne provoque pas de douleur chez votre cheval. Ensuite, il faudra travailler les muscles posturaux.
Ces exercices sont très exigent pour le cheval, donc commencer avec des temps courts entre couper de temps de repos et augmenter graduellement le temps des exercices. Nous recommandons de commencer les exercices au sol pour le développement musculaire ensuite de les faire en selle. Les mains du cavalier
C’est bien important de prendre conscience de nos mains en équitation. Si nous avons des mains dures, donnons des petits coups dans les guides ou appliquons une tension trop forte rapidement, le cheval va se contracter et va finir par exprimer sa douleur en tirant sur les rênes pour aller chercher de l’espace entre la bouche et vos mains. Comment tenir vos rênes :
Voici quelques exercices pour améliorer vos mains :
Les chevaux, comme les autres mammifères, communiquent avec leurs mimiques et leurs postures. Ils peuvent faire autant de mimiques faciales que nous. C’est en prenant le temps de les observer qu’il devient plus facile pour nous de les voir. Il faut toujours regarder l’ensemble des mimiques du cheval pour bien comprendre ses intentions, ses émotions et ses réactions. Voici quelques informations de base qui peuvent vous guider dans la compréhension de leur langage. Les oreilles Lorsque l’une d’elles, ou les deux sont pointées vers l’avant, le cheval est attentif à un objet, un humain, un son, un animal, etc. Il peut être curieux, craintif, analyser s'il y a un danger, etc. Exemples :
Astuces : Pour garder l'attention de votre cheval en longe, il faut faire plusieurs demandes (arrêts, transitions, changement de main, latéraux etc.) afin de garder l'intérêt et l'attention de votre cheval. Quand les oreilles sont relâchées ou mollement tournées vers l’arrière, il est en repos donc inattentif. Or, avant de rentrer en communication, il faut lui indiquer qu'il va avoir une demande, sinon le cheval ne se permettra pas de rentrer dans cet état de détente en votre présence. Effectivement, imaginez-vous être prêt d'une personne qui vous fait faire le saut ou vous chicane chaque fois que vous permettez de tomber dans un état de détente, après un moment vous ne vous laisserez plus aller dans cet état prêt de cette personne. Franchement plaquées en arrière (oreilles dans le crin), elles expriment une menace. Le cheval peut avoir peur, mal ou veut chasser un individu de sa bulle. Cette position d'oreille peut être accompagnée d'une morsure. Si cet état apparaît suite à une intervention de notre part, nous obtenons une indication claire de notre animal qu'il est très inconfortable mentalement ou qu'il éprouve de la douleur avec l'action exécutée. Il faudra donc, éliminer les causes médicales et prendre le temps de le désensibiliser ou d'enseigner l'étape incomprise afin qu'il soit plus confortable et éviter un accident qui pourrait être grave. Voici quelques exemples où votre cheval pourrait faire ces oreilles :
Les yeux L’ouverture des paupières, la direction et l’intensité du regard dévoilent une gamme étendue d’émotions. Avec de la pratique, nous pouvons observer beaucoup d'émotions avec le regard. Des yeux vifs et ouverts signifient de l’intérêt, de la curiosité. Le cheval est attentif à nos demandes, à ses congénères ou à son environnement. Nous voulons ce regard en entraînement, car il nous indique que notre cheval est en communication avec nous. Des yeux mi-clos signifient généralement la détente. Le cheval peut également être en douleur, regarder son état général. Des yeux grands ouverts, dont le blanc de l'œil apparaît, et qui roulent dans leur orbite signifient une peur intense, une morsure imminente ou l'évitement à une action ou une morsure. En entraînement, si vous voyez le blanc de l’œil, il faut rapidement changer l’environnement ou notre action, la peur est trop élevée, il ne peut rien apprendre dans cet état émotionnel. Prendre le temps nécessaire pour désensibiliser les gestes, bruits, objets, etc. qui provoque cette peur. Lors des contacts entre deux chevaux, nous pouvons voir le blanc de l’œil lorsqu'ils se mordent. Le cheval bouge la tête, mais veut garder son regard sur l'autre cheval. Dans de rares cas, nous pouvons également observer certains chevaux qui regardent au dessus-d'eux et le blanc de l’œil va apparaître. Les naseaux Prenez le temps d’observer vos chevaux au repos afin de vous donnez un repère lorsqu’ils expriment des mimiques. Les naseaux ouverts et palpitants, expriment de l’intérêt : le cheval a capté une information olfactive intéressante ou préoccupante. Dilaté est un signe d’alerte, voire de peur, surtout s’il ronfle bruyamment en même temps. Lorsque le cheval est dans un état d'alerte (fais le dragon), la communication et l’attention avec son cavalier sont atteintes. Le niveau de stress du cheval est très élevé et ses décisions seront affectées. Travailler avec des distractions et différents objets permet au cheval de comprendre graduellement que porter son attention sur son cavalier est plus avantageux que sur son environnement, et ce, peu importe ce qui se passe, au tour de lui. Ce travail se fait par étape, avec différentes distractions et au rythme du cheval. Cela vous permettra également d'offrir à votre cheval des outils de gestion lorsqu'il va être inquiet et/ou émotif. Les naseaux pincés avec la peau plissée autour de ceux-ci signifient un inconfort physique ou psychologique. Le cheval peut être sur le point de mordre ou de ruer. Les naseaux pincés sont souvent observés avec les oreilles plaquées sur la nuque. Les lèvres Les lèvres relâchées sont synonymes de décontraction. Faire attention, certains chevaux se tiendront la lèvre inférieure décontractée, même en présence de sources de stress. Souvent observé chez les chevaux de trait. Toujours se fier sur l’ensemble des mimiques. Également appeler ‘’bec de perroquet’’, les lèvres serrées signifient un état d’alerte, un stress, une contraction. Combiné avec une queue plaquée sur les fesses, nous indique une contraction complète du cheval. Il est inconfortable ou ne comprend pas la situation, geste ou demande. Prendre le temps de bien enseigner les manœuvres pour ne pas créer d’ambiguïté et cet état de stress chez votre cheval. Si les dents sont visibles et la bouche est ouverte, il va y avoir une morsure imminente. Par contre avant de démontrer ce comportement, d’autres signaux seront émis par le cheval. Prendre le temps d’écouter nos chevaux, évite bien des conflits et des stress inutiles pour eux et pour nous. Certains chevaux peuvent faire des mimiques avec leur bouche : sortir la langue en la crispant, mastiquer de façon contractée avec la bouche ouverte, etc. Ces mimiques sont des exutoires de stress. Le ‘’clapping’’ du poulain, une bouche s’ouvrant et se fermant, les dents restant non apparentes. Ce comportement interrompt instantanément l’agression de l’adulte, car il manifeste son statut de poulain. Cette mimique disparaît avec l’âge, par contre, un poulain seul avec sa mère conservera toute sa vie un statut de poulain et donc ce comportement. Le flehmen, le relèvement de la lèvre supérieure, est pratiqué tant par les mâles que par les femelles. Les chevaux mettent en fonction l’organe vomero-nasal (organe de Jacobson) en dirigeant l'air de leur bouche vers le canal relier à l'appareil.
Les scientifiques pensent que cet organe sert à décrypter les phéromones et les odeurs dans l’air et ainsi avoir davantage d’informations. Pour comprendre les signaux et postures que votre cheval fait au pré, à la longe et en selle, il faut observer les différents éléments en même temps pour être capable de bien interpréter ce que le cheval exprime. Vous devez observer :
Nous allons voir les différentes postures et mimiques de façon détaillées au courant des articles : Le langage équin. Commençons par le port de tête et la queue : La queue Serrée entre les postérieurs, l’animal est crispé, il y a une tension, un inconfort. Souvent nous allons observer que tous les muscles sont également crispés y compris la lèvre inférieure et un port de tête haute. Détendre l'animal avant même de commencer l'entraînement sera essentielle, car il n'assimilera pas les notions enseignées dans cet état. La détente mentale est essentiel pour l'apprentissage du cheval. Cette posture de queue peut être également adoptée lors d'inconfort physique comme lors d'une colique, lors de température extrêmement froide, lors d'orage où le cheval n'est pas à l'abri, etc Portée haut, elle indique la vivacité. Souvent observé lors du jeu où l'excitation monte. Certaines races, telles que les Arables, ont un port naturel très haut de la queue. Normalement, un cheval confortable en mouvement aura la queue légèrement décollée des postérieurs. Si elle est tombante, le cheval peut être malade ou simplement assoupi. Si elle fouette l’air, elle montre une irritation. Le cheval nous indique qu'il y a une pression, une position, un obstacle, etc. où il est inconfortable. Un travail de désensibilisation au sol sur la zone ou objet qui provoque l'irritation peut être fait. Ce travail rendra le cheval confortable et il arrêtera de fouetter la queue dans ces situations. Il n'y aura pas de mouvement de queue lorsque le cheval sera à l'aise et n'éprouve pas de douleur avec les manœuvres et les pressions exercées sur son corps. Il faut faire attention de ne pas confondre avec le mouvement pour enlever les insectes sur son corps. Le mouvement de la queue sera dirigé sur le corps. La tête Une posture de tête haute indique un état d’observation, d'évaluation. Le cheval peut regarder un objet inquiétant au loin, un obstacle ou être concentré sur les gestes son manieur et être prêt à réagir. Dans cette posture, le cheval évalue la situation, risque, danger, etc. Une fois l'évaluation faite, il va généralement soit se détendre ou fuir (défense active), rarement il va se défendre en attaquant. Un cheval qui maintient constamment sa tête haut peut être en détresse acquise. Ce cheval aura besoin d'un travail spécifique pour évacuer ses tensions et le sortir de cet état émotionnel. Une tête égale à la position du dos indique un état de détente. Le cheval est à l’aise dans son environnement et ce qui se passe au tour. En entraînement, peu importe l'allure, nous recherchons cette posture qui nous indique un cheval détendu. Une tête basse peut indiquer :
Une stéréotypie est un mouvement répétitif, sans fonction ni raison apparente. L’exécution de ce mouvement va procurer au cheval une sensation de plaisir et d’apaisement, qui a pour effet d’auto renforcir le comportement. Une fois le comportement enclenché, seule une stimulation très forte va les faire sortir de leur mouvement et reprendre contact avec la réalité. Un lien serait remarqué entre l’anxiété et les stéréotypies. De plus, une stéréotypie a tendance à créer une perte de poids, car elle se fait au détriment de la prise alimentaire et demande beaucoup d’énergie. Les stéréotypies orales Les plus connues sont le tic à l’appui et le tic à l’air, mais il en existe une grande variété. Un cheval qui tique à l’appui saisit des objets fixes avec ses incisives et contracte son encolure en faisant un bruit rauque comme un rot. Ce comportement crée une usure excessive des incisives dues au contact répété avec des objets. Un cheval qui tique à l’air prend la même posture d’encolure et fait le même bruit sans prendre appui. Ces tics peuvent être un facteur de risque pour les ulcères gastriques. Certains chevaux sortent leur langue sans arrêt et la bougent, d’autres qui la mâchent, d’autres qui la frottent sur un objet, certains lèchent sans arrêt, font claquer leurs lèvres en secouant la tête, etc. Bref, tous les comportements répétitifs sans raison apparente sont considérés comme des stéréotypies. Les stéréotypies de locomotrices Le tic à l’ours : le cheval se balance d’un antérieur à l’autre. Ce comportement creuse généralement le sol, car les antérieures vont toucher le sol à chaque mouvement. Ils font à quelques exceptions près ce comportement devant leur porte. L’encensement : des mouvements violents de la tête de bas en haut. Certaines chevaux se blessent à répétition au niveau du visage et vont recommencer quand même, car ce comportement leur procure plus d’apaisement que la douleur. Le tic déambulatoire : le cheval marche sans arrêt dans la même trajectoire. Des traces sont apparentes dans le box ou le paddock dû au passage répété. Ces tics peuvent, à long terme, provoquer des problèmes articulaires, car les membres sont sans cesse sollicités. Ces habitudes finissent par altérer les capacités d’apprentissage. De plus, même après une thérapie comportementale, ces chevaux atteints de stéréotypies ont tendance à récidiver dès qu’ils sont stressés ou restreints dans leurs activités physiques libres. Prévention L’enrichissement du milieu est essentiel, il faut combler tous les besoins du cheval, tant sur le point alimentaire, que physique. Il faut lui donner la possibilité de passer de longs moments en troupeau, au pré pour qu’il puisse bouger à sa guise et qu’il est l'accessibilité de mastiquer du foin quasiment à volonté. Pour les chevaux vivant en box, il faut s’assurer qu’il peut sortir à tous les jours pour une durée de minimum 4 heures idéalement 6h à 8h. Lui installer un filet à foin pour allonger sa période d’alimentation et des jouets peut être accroché pour enrichir son box. Pour une communication hors du commun! L’équitation naturelle, le horsemanship, l'éthologie il y a tellement de noms maintenant et de façons différentes de l'enseigner.
Dans tous les cas lorsqu’on va vers une équitation :
Lorsqu’on va vers ce genre d’équitation, un travail sur soi est nécessaire et c’est pour cette raison que ce n’est pas tout le monde qui se sent bien dans ce processus. Ce n’est pas un exercice du mercredi l’équitation naturelle. C’est un mode de vie, une façon de penser qui priorise le cheval et non notre volonté personnelle, notre ego. Pour aimer pratiquer l’équitation naturelle au quotidien, il faut :
Ce mode de vie devrait être pratiqué par tous les cavaliers, car en plus d’améliorer la communication avec leur cheval, on améliore nos rapports humains au quotidien. Mais ce n’est pas tout le monde qui est prêt pour ce changement intérieur. Alors je n’impose jamais mon mode vie avec les chevaux. Je le propose, je tends la main. Seuls ceux qui sont prêts pour ce travail resteront. Les autres seront de passage. Et vous? Êtes-vous prêt pour ce changement? L'avez-vous déjà fait? La longe traditionnelle c’est-à-dire de faire tourner le cheval en rond aux 3 allures durant de longues minutes a pour effet de déconnecter vos chevaux.
Ils n’ont pas besoin de se concentrer sur vous, ils regardent partout, mettre une tension sur la laisse et même vous tire. En plus, beaucoup envoient le fouet derrière les fesses ou même dessus. Savez-vous que la zone située derrière le cheval ainsi que les fesses est la zone de fuite? Lorsque vous stimulez cet endroit, vous demander à votre cheval de s’éloigner d’au moins 30 pieds, mais si vous le tenez avec une longe de 20 pieds votre message est contradictoire. Votre cheval tirera sur votre longe. Savez-vous que lorsque votre cheval tire sur votre longe c’est qu’il veut vous fuir? Il n’a pas tout à faire compris votre exercice. Il y a plusieurs façons d’utiliser la longe et stimuler la concentration de votre cheval, lui montrer de rester à la longueur de la longe. Commencer par établir un langage clair. Quels signaux voulez-vous utiliser pour lui demander :
Pour vous aider à choisir penser un signal visuel (votre corporel) pour chacune des demandes. Chaque fois que vous faites les demandes, utiliser le signal choisit. Votre cheval ferra rapidement l’association pour chacun!
Autre conseil : Lorsque vous enseignez quelque chose à votre cheval. Commencer de près de votre cheval pour le guider puis en file des entraînements éloignez-vous . Dites-vous: la communication à tendance à avoir des interférences plus on s’éloigne du cheval |
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